Les thérapies non médicamenteuses (TNM) s’invitent dans le parcours de santé des patients. Participant à à soulager ou anticiper les maux, elles s’adressent à différents publics. Comment les soignants s’emparent-ils de cette nouvelle façon d’appréhender le soin et sur quels bénéfices s’appuient-ils ?
Un article publié le 25 novembre 2022 par l’édition Loire de L’ESSOR s’intéresse à ce sujet. Avec un focus plus particulier sur la région Rhône-Alpes, il présente notamment :
- Le positionnement de la Haute Autorité de Santé (HAS) sur les interventions non médicamenteuses,
- la clarification de ces pratiques menées actuellement par la NPI Society, à Montpellier,
- l’accompagnement proposé par le Gérontopôle Auvergne Rhône-Alpes auprès des porteurs de projets dans la Région,
- l’initiative du Danaecare Lab à Saint-Etienne.
Parmi les nombreuses thérapies non-medicamenteuses, l’article propose un focus sur l’hortithérapie, avec l’exemple du “Jardin des Mélisses”, le très beau de santé à visée thérapeutique du CHU de Saint-Etienne. Le Dr Romain Pommier, médecin-psychiatrie à l’origine du projet dès 2015, y est interviewé. Au-delà des bénéfices indiscutables sur le bien-être des patients, il est convaincu des impacts socio-économiques, managériaux ou encore environnementaux de ce type de projet, et s’interroge : “Comment les pouvoirs publics et la solidarité nationale décideront de financer tels types de propositions de soin par rapport à d’autres ?”
Des réflexions pertinentes dans un article instructif à télécharger ICI.